Respecter une naissance
Les réflexes archaïques et l’accouchement sont indissociables, vous l’avez compris. Aujourd’hui, je vais vous parler de la surmédicalisation de la grossesse et des accouchements et de leurs éventuels impacts sur le nouveau-né. Prenons comme exemple un accouchement avec une grossesse non-pathologique et sans imprévus… Mais oui, cela existe!
L’importance d’une naissance respectée tient dans le fait que les femmes ont le droit de choisir les circonstances de leur accouchement dans l’intérêt de leur bébé, d’elles-mêmes et également de leur partenaire. C’est pourquoi j’encourage d’écrire un projet de naissance à transmettre en amont de l’accouchement à l’équipe médicale et à avoir sur soit le jour J. Je peux vous aider à y réfléchir si besoin.
En effet, « bien que la part des femmes ayant rédigé un projet de naissance ait triplé entre 2016 et 2021, elles restent encore peu nombreuses à faire cette démarche, 10,2% en 2021 versus 3,7% en 2016 »¹
Découvrir le champ des possibles
Pour opérer ce choix, encore faut-il être informée dès le début de la grossesse des différentes possibilités qui s’offrent aux parents, à la maman ! Je parle ici:
✓ des techniques d’accouchement
✓ des professionnels que vous pouvez solliciter pour être accompagnée d’un point de vue médical
✓ mais aussi des accompagnements à la naissance qui proposent un suivi non médical pendant la grossesse, pendant l’accouchement, et en post partum.
En effet être suivie par un gynécologue, en maternité ou libéral, n’est absolument pas obligatoire. Votre suivi de grossesse peut tout à fait se faire en globalité par un-e sage-femme en libéral ou maternité. Si la grossesse est problématique, il/elle n’hésitera pas à vous renvoyer vers un gynécologue si besoin.
Vous pouvez également du côté non médical être accompagnée par une Doula, une accompagnante à la naissance qui soutient et aide les futurs parents dans leur cheminement.
Avant d’opter pour l’environnement plus ou moins médicalisé de la phase naissance, vous avez également la liberté de choisir la préparation à la naissance qui vous convient. Les méthodes alternatives à un suivi classique ne manquent pas : haptonomie, sophrologie, hypnose, yoga prénatal, chant prénatal, gymnastique sensorielle périnatale… A vous de découvrir la technique la plus en phase avec vos attentes celui de votre couple.
Tout cela peut aussi permettre d’éviter un déclenchement. En France, « la part des femmes ayant eu un déclenchement du travail était restée stable à 22,0% entre 2010 et 2016. En revanche, entre 2016 et 2021, cette pratique a de nouveau augmenté, passant à 25,8% ».² Il serait intéressant de se pencher sur les causes d’une augmentation. Réel besoin ou confort médical ? Je vous laisse faire vos propres investigations.
Favoriser l’ocytocine
L’ocytocine, l’hormone de l’amour, est primordiale pour l’accouchement.
Elle permet :
✓ la préparation et la dilatation du col,
✓ La mise en place des contractions utérines et de leurs régulations tout au long de la naissance,
✓ de réguler les douleurs en venant inhiber le néo-cortex,
✓ de mieux gérer le stress,
✓ l’« éjection du fœtus » et du placenta.
Sa production est secrétée tout le long de la grossesse et augmente au fur et à mesure.
Cette hormone ne concerne pas seulement la maman, elle va également être sécrétée au niveau du cerveau du bébé.
Il est d’ailleurs important de permettre à cette hormone de bien s’activer et d’augmenter naturellement pendant la grossesse afin que sa production soit facilitée au moment de l’accouchement.
C’est pourquoi il est également important que la maman soit choyée, bien entourée, que le stress soit limité, qu’elle fasse des choses qui lui font du bien pendant tout le long de sa grossesse.
Pour secréter de l’ocytocine, la femme a besoin qu’on respecte ses besoins, qu’on y réponde, mais la femme a aussi besoin que l’environnement soit organisé de façon à favoriser la production naturelle.
Or, en France, l’utilisation de l’oxytocine (ocytocine de synthèse) est parfois utilisée de façon systématique dans certains endroits, ou la production naturelle n’est pas favorisée. Même si les taux d’utilisation ont baissés, ils restent cependant encore élevés. « Chez les femmes en travail spontané ou ayant eu un déclenchement du travail, l’utilisation de l’ocytocine passe de 52,5% en 2016 à 41,3% en 2021 ; chez les femmes en travail spontané, ces taux sont passés de 44,4% en 2016 à 30,0% en 2021 . En 2021, globalement, plus de 90% des femmes ont reçu de l’oxytocine après l’accouchement.»³
Contrairement à l’oxytocine de synthèse, l’ocytocine naturelle va s’adapter au processus de la naissance, au déroulement des différentes étapes de l’accouchement, et se libérer en fonction des besoins de la maman.
Peut-être que ces taux pourraient baisser si :
✓ L’intimité de la femme était respectée et qu’on lui permettait de se mettre dans sa bulle
✓ Les salles de naissance était suffisamment chauffées. Le froid empêche le lâcher prise, favorise la production de l’adrénaline qui empêche l’ocytocine de fonctionner correctement
✓ Les lumières étaient tamisées. En effet, les lumières fortes viennent stimuler le néo-cortex. Or le néo-cortex doit être mis de côté pour que l’ocytocine puisse s’activer. Ne pas hésiter à fermer les rideaux des salles de naissance, d’apporter vos lampes de sel…
✓ Le silence était respecté. On ne doit pas parler à la maman, pour encore une fois, éviter de venir stimuler son néo-cortex et qu’elle puisse rester dans sa bulle. C’est pourquoi une préparation en amont pour que le papa soit informé de ce que souhaite la maman est primordiale, ainsi que la rédaction d’un projet de naissance.
✓ La maman se sentait en confiance et en sécurité. Le stress va venir produire deux autres hormones qui sont le cortisol et l’adrénaline. Or, ces deux hormones inhibent la production d’ocytocine et peuvent engendrer l’arrêt des contractions et donc du travail. Il faut donc que la maman soit entourée de personnes de confiance, des personnes qui vont la rassurer, et qui ne stressent pas non plus.
L’ocytocine sera également indispensable pour mettre en place l’allaitement de façon optimale.
Choisir la position pour accoucher
Un accouchement (sans pathologie particulière bien sûr) devrait se faire dans une position choisie par la mère et la personne qui l’accompagne, au moment de la naissance, dans une position naturelle pour faciliter la descente du bébé.
Malheureusement, en structure hospitalière, la liberté de position est souvent limitée pendant le travail. Même si cela tant à évoluer. La future maman est installée en position classique, allongée sur le dos, les pieds dans les étriers, ce n’est pas ce qu’il y a de plus naturel. Cette position a été instaurée pour faciliter le travail et le confort des professionnels de santé, et non pas pour faciliter la naissance, bien au contraire. « Bien que les recommandations soient de laisser à la femme le choix de sa position d’accouchement (HAS, 2018), celle-ci a peu évolué depuis 2016 et reste majoritairement la position sur le dos que ce soit au début des efforts expulsifs (87,2%) ou au moment de l’expulsion (93,9%) »⁴
Parfois, cette position engendre des complications et ralentit le travail. En effet, elle peut empêcher ou freiner l’ouverture du bassin de la mère. Conséquence, les contractions sont moins efficaces. Elles agissent contre la gravité et retardent souvent la descente de la tête du bébé. N’oublions pas que c’est la pression exercée par la tête du bébé qui aide à la dilatation du col de l’utérus.
Une maman en position debout, semi assise ou à 4 pattes va favoriser la descente fœtale et l’ouverture du col puisqu’elle est dans le sens de la gravité. Reste à trouver le soutien pour donner naissance ainsi : l’autre parent, un ballon, une chaise, des lianes…
Si la descente du bébé se fait de manière plus naturelle alors l’utilisation de forceps, ventouse ou le recours à l’épisiotomie ne sont en général pas utiles.
Gérer la mise au monde
La femme est tout à fait capable de gérer la mise au monde de son enfant, elle est capable de gérer les contractions, la poussée… Mais les professionnels de santé et parfois l’entourage/ la société lui font croire qu’elle n’en est pas capable, et véhiculent la peur. Et puis, ce que l’on entend bien souvent est « On a bien inventé la péridurale, alors pourquoi s’en priver et souffrir inutilement ? ».
La femme choisit donc le recours à la péridurale, comme si cela était la norme, un passage obligé.
« Le taux d’analgésie péridurale chez les femmes ayant eu une tentative de voie basse est toujours très élevé en France et en légère augmentation (Euro-Peristat, 2016). En 2021, 82,7% des femmes ont eu une analgésie péridurale (versus 81,4% en 2016). »⁵ C’est le taux le plus élevé au monde, peut être aussi parce que chez nous, cet acte médical est remboursé par la sécurité social, ce qui n’est pas le cas dans d’autres pays.
Les chiffres le montrent, l’analgésie péridurale est souvent le souhait de la femme. « Ce taux élevé d’analgésie neuro-axiale durant le travail est en accord avec la volonté des femmes qui accouchent en France, puisque, lorsqu’on les interroge sur leur souhait d’avoir accès à une péridurale durant le travail avant l’accouchement, elles étaient 65,6% à souhaiter « absolument » une péridurale et 17,9% à en souhaiter « peut-être » une. On note cependant une légère augmentation entre 2016 et 2021 de la part des femmes ne souhaitant a priori pas d’analgésie péridurale (16,5% en 2021 versus 14,6% en 2016) » ⁶
ATTENTION : l’idée ici n’est absolument pas de critiquer ou juger les femmes qui ont recours à une péridurale. Loin de moi cette idée.
Je souhaite transmettre des informations pour que chacune puisse agir en connaissance de causes, pour faire un choix éclairé.
Mais je vous accompagnerai bien sûr quelques soient vos choix, car la seule personne qui décide au final, c’est vous.
Sachez tout de même que vous pouvez ne pas y avoir droit dans certaines conditions, qu’elle peut ne pas fonctionner ou que d’un seul côté. C’est pourquoi il est important de se préparer comme si vous n’y avez pas accès, de se préparer à toutes les possibilités.
Je vous recommande la lecture des livres de Michel Odent, gynécologue, à ce sujet. Voici un petit extrait : « C’est la science qui fera évoluer les conditions d’accouchement. La plupart des gestes et actes pratiqués aujourd’hui lors de la naissance reposent sur des rituels et des croyances. La recherche démontre pourtant que les femmes sont capables d’accoucher par elles-mêmes. Les études ont découvert que ce dont le bébé a le plus besoin à la naissance est tout simplement sa mère. L’observation scientifique établit que la femme qui vient d’accoucher développe un instinct maternel protecteur agressif à l’instar des primates. Tout ce que notre culture s’empresse de contrarier et d’inhiber. Aujourd’hui, la difficulté n’est plus l’accès à la connaissance. La difficulté est la digestion des connaissances qui contredisent les traditions. »⁷
C’est donc cette sur-médicalisation rentrée dans la norme, basée sur des rituels et des croyances qui veut fait croire aux femmes qu’elles n’en sont pas capables. Et ces obstétriciens qui veulent faire croire que la femme est faible, fragile, passive, que lui sait mieux qu’elle ce dont elle a besoin. N’oubliez pas que l’obstétrique a été construite par des hommes à une époque où les femmes étaient exclues de toutes les fonctions décisionnelles, y compris en médecine, et où leur parole n’avait pas la moindre importance. Et c’est eux qui devraient décider ce qui est le mieux pour nous, pour notre bébé ? C’est eux qui savent ce que l’on ressent dans notre corps à ce moment de donner la vie et ce dont on a envie ?
40 % au Royaume-Uni, 15 % aux Pays-Bas, 28 % au Danemark des femmes ont recours à la péridurale. « Alors qu’en France, à peine 20% des femmes accouchent sans péridurale, elles sont 72% au Danemark , et bon nombre le font… à domicile. Ce choix s’explique principalement par une conviction que l’accouchement naturel reste le meilleur des choix pour maman et bébé. Après tout, la nature nous a fabriqué pour. »⁸
Les femmes Françaises seraient donc moins capables que les Danoises et autres femmes dans le monde?
Je ne le pense évidemment pas.
Mais qu’est ce qui fait la différence alors ?
Probablement car les approches, préparations, croyances autour de la grossesse et de l’accouchement sont totalement différentes dans d’autres pays.
Mon témoignage : J’ai fait le choix de me préparer avec différentes préparations pour mes 2 accouchements : Méthode Bonapace, auto-hypnose, techniques de respiration. Et j’ai eu la chance pour mes 2 enfants d’avoir accès à une baignoire pour le moment du travail, et pour mon 2ème de pouvoir avoir un suivi global avec un sage femme en libéral. Ces réflexions se sont faites en amont de mes grossesses.
Cela ne m’a pas empêché, pour mes 2 accouchements, de demander la péridurale au moment de la phase de désespérance lors du travail. J’ai hurlé que je n’y arriverai pas, que je ne voulais plus accoucher, que je voulais la péridurale car c’était trop difficile. Et c’est grâce à mon conjoint, et également à mon sage femme pour mon 2ème, grâce à leurs encouragements, à leurs mots doux, à leurs confiance, que j’ai pu y finalement aller au bout sans péridurale.
J’ai eu la chance de ne pas avoir des accouchements qui ont duré trop longtemps aussi. Bien sur que cela peut faciliter les choses.
Pour mon aîné, j’ai eu les premières contractions à 5h du matin, une arrivée à 11h à la maternité et un accouchement à 16h10. J’aurai pu accoucher 1h30 plus tôt si l’équipe médicale ne m’avait pas extirpée de la baignoire en pleine poussée alors que je sentais la tête de mon fils… car cela ne respectait pas le protocole (pas d’accouchement en baignoire). On notera la violence que cela engendre, la chute de l’ocytocine, le stress, la colère également qui ont fait qu’il m’a fallu 1h30 de plus pour mettre au monde mon fils, et des complications post accouchement.
e choix d’enfantement pour mon 2ème fut différent (d’où l’accompagnement global et unique par un sage femme libéral, et l’accouchement en plateau technique à défaut d’un accouchement à domicile). Début des contractions à 21h, une nuit entre calme et contractions, une reprise intense à 7h du matin, une arrivée à 10h à la maternité et un accouchement à 13h30.
Dans chacun de mes accouchements et surtout le premier puisque je ne connaissais pas l’équipe présente en amont, le projet de naissance fut une force, tout comme la préparation de mon conjoint, mais surtout tout ce que j’avais pu lire, écouter, la préparation en amont ont pu me donner la force d’y croire. Je n’avais pas fermer la porte à l’idée de prendre la péridurale, mais mon conjoint et ma sage femme savait qu’il faudrait me soutenir pour la phase de désespérance, ce qui a été fait.
Les mots comme « tu y es, tu vas y arriver, tu peux le faire, tu es merveilleuse, tu es incroyable, je crois en toi, tu es préparée pour, tu sais faire, ton corps sait faire, je t’aime, c’est la fin bébé arrive… » m’ont beaucoup aidé.
Qu’est ce que la phase de désespérance et pourquoi elle se produit ?
Au cours de son enfantement, la femme va traverser différentes phases dont la phase de désespérance. Elle est peu connue et pourtant primordiale à connaître.
Cette phase va être vécue de façon plus ou moins intense et plus ou moins longue suivant les femmes. Les sensations seront moins fortes voir inexistantes avec la péridurale.
On l’appelle désespérance car c’est souvent pendant cette phase que l’on pense que l’on va mourir, que l’on ne va jamais y arriver, que le stress et l’angoisse montent, que l’on peut même se mettre à insulter le co-parent, que l’on perd pied… et que l’on peut demander la péridurale alors que nous gérions jusque là et que nous n’en n’avions pas eu besoin. Cette phase est la phase la plus courte de l’accouchement. Les contractions sont longues et rapprochées, ce sont les dernières avant la poussée, là où le col arrive à dilatation complète. Mais la naissance n’a jamais été aussi près lorsque l’on arrive à cette phase puisque c’est la dernière étape avant la naissance et cela indique que la naissance est imminente, normalement dans les 30 minutes.
Dans cette phase, il y a un jeu d’hormones qui se met en place. L’adrénaline va augmenter. Et comme je l’ai dit plus haut, c’est l’ennemie de l’ocytocine. Elle va faire baisser l’ocytocine de la maman, elle peut générer du stress et donc faire augmenter le taux de cortisol.
Bien que l’adrénaline soit nécessaire pour passer à l’action et fournir l’énergie et la force nécessaire, que ce soit pour la maman, comme pour le bébé, elle peut déstabiliser la maman en la sortant de sa bulle et de son environnement sécure.
C’est pourquoi la maman doit être informée de cette phase naturelle pour s’y préparer au mieux en amont et préparer son conjoint, voir l’équipe médicale en mentionnant ce dont elle aurait besoin dans son projet de naissance. La maman doit avoir un soutien émotionnel hors pair à ce moment là et qu’on lui apporte de l’amour, de la confiance en elle et en son bébé pour qu’elle puisse s’apaiser, se recentrer sur son bébé et la naissance.
Encore une fois l’information pour anticiper est indispensable.
Avec une préparation à l’accouchement avec des personnes de confiance, formées à la naissance respectée, avec un travail avec son – sa partenaire, en se préparant soi-même mentalement, cela devient possible. Croyez en vous, en vos capacités, en celle de votre partenaire et de votre bébé.
Nous avons/ vous avez la force et la puissance en vous pour y arriver,
pour donner la vie.
Témoignage de Léa sur son expérience de Française ayant accouché au Danemark :
«Si le suivi médical est réduit au strict minimum, et qu’il n’existe pas de séance prénatal où les femmes enceintes apprennent à respirer ou à pousser, la future maman est invitée à explorer toutes les méthodes alternatives visant à réduire le sentiment de peur et les craintes des femmes vis à vis de l’accouchement, la peur des contractions ou le stress prénatal. Pour éviter les situations stressantes le jour J, il est notamment idéal de réaliser un projet de naissance avec la sage-femme et vos proches. Même si tout ne se passe pas comme prévu, l’équipe médical et votre moitié, connaîtra déjà quels sont vos souhaits.
Mais ce qui m’a particulièrement aidé, ayant accouché naturellement de mes trois enfants au Danemark, ce sont surtout les techniques de relaxation et de respiration pour apprendre à gérer et à accepter la douleur. Ces techniques qui mêlent à la fois l’hypnose, les techniques de respiration et la connexion profonde avec son corps et son enfant, sont une aide précieuse et donne une force incroyable dans la salle d’accouchement, malgré l’intensité du processus. Et je crois que toutes les femmes enceintes ont cette force ! Cette force est aussi en vous ! »¹⁰
1. Enquête périnatale 2021,https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdfp.51
2. Enquête périnatale 2021, https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdfp.52
3. Enquête périnatale 2021, https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdfp.52 et 54
4. Enquête périnatale 2021,https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdf p.54
5. Enquête périnatale 2021, https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdf p.54
6. Enquête périnatale 2021, https://enp.inserm.fr/wp-content/uploads/2022/10/rapport-2022-v5.pdf p.55
7.http://marieaccouchela.net/index.php/2014/09/03/michel-odent-cest-la-science-qui-fera-evoluer-les-conditions-daccouchement + pour les études dont il parle, se référer à ses nombreux livres/articles, et entre autres son livre
« La Naissance et l’évolution d’Homo sapiens »
8. Léa, fondatrice de Manipani https://www.manipani.com/accouchement-sans-peridurale-temoignage-du-danemark
9. Léa, fondatrice de Manipani https://www.manipani.com/accouchement-sans-peridurale-temoignage-du-danemark
10. https://www.manipani.com/peur-de-laccouchement-pourquoi-et-comment-y-remedier
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